Une nouvelle fois, j’ai laissé quelques mois passer sans faire de pain, puis il y a un peu plus d’un mois j’ai repris. J’ai vite retrouvé mes habitudes, excepté une chose, que je n’arrivais plus à retrouver dans mes notes : est-ce que je laisse la plaque dans le four pendant le préchauffage, ou est-ce que je la sors à l’avance ?
J’ai essayé les deux, et je ne sais pas si c’est de l’autoconviction portée par l’idée d’imiter ce qui se passe dans le four d’une boulangerie, mais j’ai l’impression qu’en laissant la plaque dans le four pendant le préchauffage, la cuisson du dessous du pain est plus intéressante. À explorer.
C’est aussi chouette de faire des pains spéciaux, un peu sucré/salé. Sur la photo en tête d’article, j’ai utilisé des graines de courges et des cramberries séchées, que je n’ai même pas réhydraté avant de les intégrer à la pâte. Un petit côté sucré acidulé qui équilibre bien avec le côté mat un peu toréfié des graines de courges.
Sur la photo, on voit aussi un bouquin dont je vais très bientôt parler dans ces pages, «Pain et liberté : une histoire politique du pain du Moyen âge au XXI siècle», de Denis Saillard et Coline Arnaud.
[…] me suis empressé de le trouver (il est d’ailleurs caché dans mon précédent post sur ce blog), et je l’ai ensuite dévoré avec grand intérêt. Si sa forme est peu conventionnelle pour […]